La différence de rejet de CO2 entre une secrétaire travaillant à distance et une secrétaire travaillant sur place au bureau est principalement liée aux déplacements et à l’utilisation d’équipements.
Une secrétaire travaillant à distance émet moins de CO2 pour plusieurs raisons :
Déplacements : Travailler à distance réduit ou élimine généralement les déplacements domicile-travail, ce qui diminue les émissions de CO2 associées à la conduite automobile, aux transports en commun ou aux trajets en avion.
Espace de travail : L’utilisation d’un bureau à domicile implique souvent une utilisation réduite ou plus efficace des ressources énergétiques. Si la secrétaire utilise son propre espace, elle peut contrôler sa consommation d’électricité, de chauffage et de refroidissement, potentiellement réduisant ainsi les émissions de CO2.
Technologie : Les outils de communication à distance comme les ordinateurs portables, les appels vidéo et les emails utilisent les appareils électroniques personnels de la secrétaire, on évite donc les doublons avec le matériel que l’on doit lui acheter et qui ne sera utilisé qu’au bureau.
Habits : Les tenues vestimentaires achetées dans le cadre du travail sur place, avec tout ce que cela implique du coût en co2 de la récolte du coton, de la fabrication dans des pays à bas coûts, du transport, etc.. est complètement annulé par le travail à distance où la secrétaire utilise ses habits personnels.
Mutualisation: Une télésecrétaire médicale peut travailler pour plusieurs praticiens à distance, divisant d’autant les rejets co2 des secrétaires médicales sur place, pour un coût bien moins important.
En résumé, le travail à distance réduit les émissions de CO2 associées aux déplacements, à l’utilisation d’équipements dans un bureau physique, aux tenues vestimentaires professionnelles.